Les quatre planches moussues
La vieille maison abandonnée
Le grenier ; la grange ; les pièces d’habitation (cuisine, séjour, salle à manger, bureau, les deux chambres, salle de bain).
Voici la maison de famille, celle du côté maternel ; la maison de mon enfance, puis de mon adolescence et où adulte je rendais visite à ma mère, l’accompagnant dans sa vieillesse.
Acquise en 1929, mon grand-père y pratiquât le métier de couvreur, zingueur et plombier jusqu’à ses 70 ans. En 1970, au décès de ce dernier, elle fut rénovée et ma mère prit possession des lieux, jusqu’à son décès en 2016.
Aujourd’hui cette maison n’est plus mienne, car vendue en juillet 2017 ; mais avant de quitter définitivement ce lieu tant aimé, et auquel je tenais, j’ai réalisé une série de photographies des lieux afin d’entretenir mes souvenir, histoire de la faire vivre encore par ma pensée…87 ans d’une vie (celle de ma mère) laissent une empreinte dans les murs, j’en suis sûr.
Jeu d’ombre et de lumière dans une ambiance rustique
La vieille maison abandonnée
Le grenier ; la grange ; les pièces d’habitation (cuisine, séjour, salle à manger, bureau, les deux chambres, salle de bain).
Voici la maison de famille, celle du côté maternel ; la maison de mon enfance, puis de mon adolescence et où adulte je rendais visite à ma mère, l’accompagnant dans sa vieillesse.
Acquise en 1929, mon grand-père y pratiquât le métier de couvreur, zingueur et plombier jusqu’à ses 70 ans. En 1970, au décès de ce dernier, elle fut rénovée et ma mère prit possession des lieux, jusqu’à son décès en 2016.
Aujourd’hui cette maison n’est plus mienne, car vendue en juillet 2017 ; mais avant de quitter définitivement ce lieu tant aimé, et auquel je tenais, j’ai réalisé une série de photographies des lieux afin d’entretenir mes souvenir, histoire de la faire vivre encore par ma pensée…87 ans d’une vie (celle de ma mère) laissent une empreinte dans les murs, j’en suis sûr.
La vieille maison abandonnée
Le grenier ; la grange ; les pièces d’habitation (cuisine, séjour, salle à manger, bureau, les deux chambres, salle de bain).
Voici la maison de famille, celle du côté maternel ; la maison de mon enfance, puis de mon adolescence et où adulte je rendais visite à ma mère, l’accompagnant dans sa vieillesse.
Acquise en 1929, mon grand-père y pratiquât le métier de couvreur, zingueur et plombier jusqu’à ses 70 ans. En 1970, au décès de ce dernier, elle fut rénovée et ma mère prit possession des lieux, jusqu’à son décès en 2016.
Aujourd’hui cette maison n’est plus mienne, car vendue en juillet 2017 ; mais avant de quitter définitivement ce lieu tant aimé, et auquel je tenais, j’ai réalisé une série de photographies des lieux afin d’entretenir mes souvenir, histoire de la faire vivre encore par ma pensée…87 ans d’une vie (celle de ma mère) laissent une empreinte dans les murs, j’en suis sûr.
Le cimetière des moines
Une tradition veut que Roger, vicomte de Limoges, ait fondé en 801 un premier monastère en ce lieu et que celui-ci ait été détruit par les Normands lors de leur incursion en Limousin, en 846. Vers l’an mil, ses descendants dressent sur cet épaulement naturel une tour appelée en langue romane « castellare » qui se transforma en Chalard.
En 1088, un prêtre et ses deux compagnons vinrent s’installer sur les ruines de l’ancien monastère. Du nom de Geoffroy, il serait né près du village de Noth, à l’est de La Souterraine. Après des études assez poussées à Tours il vint ensuite enseigner à Limoges. Sur les conseils d’un riche marchand chez qui il logeait, Pierre Brun, il se fit ordonner prêtre à Périgueux vers 1087. Lors de son voyage d’ordination, il avait remarqué la forêt de Courbefy qu’il traversait ; c’est à son retour qu’il prit la décision d’y vivre en ermite. En 1100, Geoffroy construisit une petite église dédiée à la Vierge grâce aux subsides d’un archidiacre de Limoges, Pierre Bruchard. C’est l’évêque de Périgueux, Renaud de Thiviers, qui consacra l’édifice. Le prélat conseilla à l’ermite de créer une communauté de chanoines obéissant à la règle de Saint Augustin et le vicomte de Limoges et sa mère lui firent cadeau du site. Geoffroy mourut en 1125 et fut inhumé dans l’abbatiale près de son ancien oratoire ; quelques années plus tard, son grand ami, Gouffier de Lastours, héros de la première croisade, fut enterré dans une tombe aux armes des Lastours, dans l’église, contre son tombeau. Le Gouffier de Lastours enterré avec son épouse, Agnès d’Aubusson dans la salle capitulaire est celui qui vécut environ cent ans plus tard.
Le prieuré subit des ravages lors de la guerre de Cent Ans. En 1419, un certain Beauchamp à la tête d’une bande armée se retranche dans le prieuré. Une armée menée par les seigneurs du voisinage les en déloge le 14 avril 1421 ; mais le prieuré est en piteux état, la nef de l’abbatiale ayant été totalement détruite. À la fin du XVIIe siècle, les derniers chanoines quittent l’abbaye qui est vendue comme bien national à la Révolution.
À la Révolution française, la paroisse devient une commune mais fusionne presque aussitôt avec celle de Ladignac-le-Long. Ce n’est qu’en 1867 que Le Chalard redeviendra une commune indépendante.
Le Chalard (Lu Chaslar en occitan) est une commune située dans le département de la Haute-Vienne, en région Limousin.
À l’extrême sud du département de la Haute-Vienne, la commune du Chalard est limitée par l’Isle, principal affluent de la Dordogne, qui la sépare à l’est de Saint-Yrieix-la-Perche et au sud de Jumilhac-le-Grand, dans le département de la Dordogne. La commune est également arrosée à l’est par un petit affluent de l’Isle, le ruisseau Noir (ou ruisseau du Moulin de Busseix).
L’altitude minimale, 237 mètres, se trouve au sud-ouest, là où l’Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Jumilhac-le-Grand. L’altitude maximale avec 369 mètres est localisée au nord, en forêt du Chalard, à quelques dizaines de mètres du territoire communal de Ladignac-le-Long.
Le village du Chalard s’est développé sur un éperon rocheux au-dessus des gorges de l’Isle. À l’intersection des routes départementales 59a2 et 901, il se situe, sept kilomètres au nord-ouest de Saint-Yrieix-la-Perche et seize kilomètres au sud-sud-ouest de Nexon.
La vieille maison abandonnée
Le grenier ; la grange ; les pièces d’habitation (cuisine, séjour, salle à manger, bureau, les deux chambres, salle de bain).
Voici la maison de famille, celle du côté maternel ; la maison de mon enfance, puis de mon adolescence et où adulte je rendais visite à ma mère, l’accompagnant dans sa vieillesse.
Acquise en 1929, mon grand-père y pratiquât le métier de couvreur, zingueur et plombier jusqu’à ses 70 ans. En 1970, au décès de ce dernier, elle fut rénovée et ma mère prit possession des lieux, jusqu’à son décès en 2016.
Aujourd’hui cette maison n’est plus mienne, car vendue en juillet 2017 ; mais avant de quitter définitivement ce lieu tant aimé, et auquel je tenais, j’ai réalisé une série de photographies des lieux afin d’entretenir mes souvenir, histoire de la faire vivre encore par ma pensée…87 ans d’une vie (celle de ma mère) laissent une empreinte dans les murs, j’en suis sûr.
Règne : Plantae.
Sous-règne : Tracheobionta.
Division : Magnoliophyta.
Classe : Magnliopsida.
Sous-classe : Rosidae.
Ordre : Fabales.
Famille : Fabaceae.
Genre : Lathyrus.
Nom latin : Lathyrus latifolius Linné, 1753.
Nom(s) commun(s) : Pois vivace ; Pois de senteur ; Gesse à larges feuilles ; Pois de Chine.
Le Pois vivace (Lathyrus latifolius) est une plante vivace herbacée de la famille des Fabacées (Fabaceae) (= Légumineuses).
Cette plante grimpante (elle peut ramper si elle ne trouve pas de support) peut atteindre une hauteur de 2 à 3 mètres, grâce à des vrilles. Les tiges sont ailées. Les feuilles sont formées de deux paires de folioles. Les fleurs papilionacées, de 2 à 3 cm, sont de couleur rose pourpre, rarement blanche. Elles sont groupées en grappes axillaires de 10 à 15 fleurs. Les fleurs papilionacées sont composées de trois parties : un pétale supérieur (l’étendard), deux latéraux (les ailes) et deux inférieurs soudés (la carène), parfois parfumées.
Floraison de juillet à septembre en Europe. L’espèce est spontanée en Afrique du Nord et en Europe.
Le genre Lathyrus compte environ 200 espèces, annuelles ou vivaces, originaires des régions tempérées du globe.
Il est normal qu’avec la compagnie de l’iris l’affiche vous tape à l’œil !
Les mots passants, il nous reste les images et celle de l’affiche est une représentation « forte » du monde paysan de l’époque de Maupassant.
Les Tribunaux Rustiques d’après des contes et nouvelles de Maupassant (Mise en scène Philippe Clément).
Une des facettes la moins connue de l’œuvre de Guy de Maupassant est la peinture variée, haute en couleurs et sans concession qu’il nous livre du monde paysan de son époque. Il a le génie de mêler à la noirceur du propos le comique irrésistible des situations et des personnages. Chacun de ses paysans, par sa naïveté ou par sa rouerie, avec son avarice ou ses petites arrière-pensées fait tellement rire à ses dépens qu’il nous fait oublier pour un temps l’âpreté du propos de Maupassant. Somme toute, Les Tribunaux rustiques, c’est un peu une invitation au voyage.
(Source : Théâtre et compagnie de l’Iris – La fabrique de théâtre)
Pour plus d’informations : http://www.theatredeliris.fr/la-compagnie-de-l-iris/les-tribunaux-rustiques/index.php