C’est en m’approchant de cette porte métallique attaquée par la rouille que je remarquais l’opposition des couleurs entre la peinture verte qui la recouvrait et le rouge brique des parties rouillées ; d’où le titre de la photo : « La verte porte aux veines de sang ».
C’est en m’approchant de cette porte métallique attaquée par la rouille que je remarquais l’opposition des couleurs entre la peinture verte qui la recouvrait et le rouge brique des parties rouillées ; d’où le titre de la photo : « La verte porte aux veines de sang ».
C’est en m’approchant de cette porte métallique attaquée par la rouille que je remarquais l’opposition des couleurs entre la peinture verte qui la recouvrait et le rouge brique des parties rouillées ; d’où le titre de la photo : « La verte porte aux veines de sang ».
C’est en m’approchant de cette porte métallique attaquée par la rouille que je remarquais l’opposition des couleurs entre la peinture verte qui la recouvrait et le rouge brique des parties rouillées ; d’où le titre de la photo : « La verte porte aux veines de sang ».
C’est en m’approchant de cette porte métallique attaquée par la rouille que je remarquais l’opposition des couleurs entre la peinture verte qui la recouvrait et le rouge brique des parties rouillées ; d’où le titre de la photo : « La verte porte aux veines de sang ».
Les photographies de cette série « Les outrages du temps » mettent en évidence l’action des intempéries sur les matériaux, et en général sur tous supports. Le temps qui passe modifie toute chose.