En parcourant l’université de Limoges : Ecrire sur le mur
L’aspect délabré et sale des locaux du campus de Vanteaux à l’université de Limoges (Haute-Vienne, France), ainsi que l’architecture des bâtiments de type pays de l’Est, avant la chute du mur de Berlin, m’ont incité à réaliser quelques photographies du lieu.
En parcourant l’université de Limoges : Ecrire sur le mur -6R-
L’aspect délabré et sale des locaux du campus de Vanteaux à l’université de Limoges (Haute-Vienne, France), ainsi que l’architecture des bâtiments de type pays de l’Est, avant la chute du mur de Berlin, m’ont incité à réaliser quelques photographies du lieu.
En parcourant l’université de Limoges : Ecrire sur le mur
L’aspect délabré et sale des locaux du campus de Vanteaux à l’université de Limoges (Haute-Vienne, France), ainsi que l’architecture des bâtiments de type pays de l’Est, avant la chute du mur de Berlin, m’ont incité à réaliser quelques photographies du lieu.
En parcourant l’université de Limoges : Ecrire sur le mur.
L’aspect délabré et sale des locaux du campus de Vanteaux à l’université de Limoges (Haute-Vienne, France), ainsi que l’architecture des bâtiments de type pays de l’Est, avant la chute du mur de Berlin, m’ont incité à réaliser quelques photographies du lieu.
Les photographies de cette série [ici « Tendresse de façade »] mettent en évidence la formation de figures (dans l’acception la plus large du mot) sur ou dans les murs. Ces figures sont le plus souvent spontanées. Elles apparaissent avec les intempéries et le temps qui passe. Parfois elles peuvent être le fait des humains. Certaines s’imposent immédiatement à nous ; pour d’autres il nous faut affûter notre regard afin de les repérer et de les traduire, aidée par notre imagination, en une image lisible par tous. Les supports s’altèrent, se modifient. Certaines figures dureront dans le temps, d’autres seront plus éphémères. Le photographe devra être présent au bon moment : celui où la figure sera la plus lisible possible pour et dans l’image. Ici on peut imaginer deux animaux se regardant avec tendresse : une mère et son petit.
Les photographies de cette série [ici ‘Crépi mordant’] mettent en évidence la formation de figures (dans l’acception la plus large du mot) sur ou dans les murs, et en général sur tous supports. Ces figures sont le plus souvent spontanées. Elles apparaissent avec les intempéries et le temps qui passe. Parfois elles peuvent être le fait des humains. Certaines s’imposent immédiatement à nous ; pour d’autres il nous faut affûter notre regard afin de les repérer et de les traduire, aidée par notre imagination, en une image lisible par tous. Les supports s’altèrent, se modifient. Certaines figures dureront dans le temps, d’autres seront plus éphémères. Le photographe devra être présent au bon moment : celui où la figure sera la plus lisible possible pour et dans l’image.
Les photographies de cette série [ici ‘Crépi mordant’] mettent en évidence la formation de figures (dans l’acception la plus large du mot) sur ou dans les murs, et en général sur tous supports. Ces figures sont le plus souvent spontanées. Elles apparaissent avec les intempéries et le temps qui passe. Parfois elles peuvent être le fait des humains. Certaines s’imposent immédiatement à nous ; pour d’autres il nous faut affûter notre regard afin de les repérer et de les traduire, aidée par notre imagination, en une image lisible par tous. Les supports s’altèrent, se modifient. Certaines figures dureront dans le temps, d’autres seront plus éphémères. Le photographe devra être présent au bon moment : celui où la figure sera la plus lisible possible pour et dans l’image.
Les photographies de cette série [ici ‘Crépi mordant’] mettent en évidence la formation de figures (dans l’acception la plus large du mot) sur ou dans les murs, et en général sur tous supports. Ces figures sont le plus souvent spontanées. Elles apparaissent avec les intempéries et le temps qui passe. Parfois elles peuvent être le fait des humains. Certaines s’imposent immédiatement à nous ; pour d’autres il nous faut affûter notre regard afin de les repérer et de les traduire, aidée par notre imagination, en une image lisible par tous. Les supports s’altèrent, se modifient. Certaines figures dureront dans le temps, d’autres seront plus éphémères. Le photographe devra être présent au bon moment : celui où la figure sera la plus lisible possible pour et dans l’image.
Nouvelle série en vue rapprochée (pour visualiser l’ensemble des séries cliquer sur « Photothèque »).
Les photographies de cette série [ici ‘Crépi mordant’] mettent en évidence la formation de figures (dans l’acception la plus large du mot) sur ou dans les murs, et en général sur tous supports. Ces figures sont le plus souvent spontanées. Elles apparaissent avec les intempéries et le temps qui passe. Parfois elles peuvent être le fait des humains. Certaines s’imposent immédiatement à nous ; pour d’autres il nous faut affûter notre regard afin de les repérer et de les traduire, aidée par notre imagination, en une image lisible par tous. Les supports s’altèrent, se modifient. Certaines figures dureront dans le temps, d’autres seront plus éphémères. Le photographe devra être présent au bon moment : celui où la figure sera la plus lisible possible pour et dans l’image.
Les photographies de cette série [ici ‘Crépi mordant’] mettent en évidence la formation de figures (dans l’acception la plus large du mot) sur ou dans les murs, et en général sur tous supports. Ces figures sont le plus souvent spontanées. Elles apparaissent avec les intempéries et le temps qui passe. Parfois elles peuvent être le fait des humains. Certaines s’imposent immédiatement à nous ; pour d’autres il nous faut affûter notre regard afin de les repérer et de les traduire, aidée par notre imagination, en une image lisible par tous. Les supports s’altèrent, se modifient. Certaines figures dureront dans le temps, d’autres seront plus éphémères. Le photographe devra être présent au bon moment : celui où la figure sera la plus lisible possible pour et dans l’image.