Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Genre : Bombus.
Nom scientifique : Bombus pratorum (Linné, 1761)
Nom(s) commun(s) : Bourdon des prés; Bourdon précoce.
Le Bourdon des prés (Bombus pratorum) est un Hyménoptère de la famille des Apidés (Apidae). L’espèce est commune partout en Europe Centrale et en France. Elle apparaît dès le mois de mars et jusqu’en juillet seulement.
Habitat en terrain dégagé : orée des bois, prairies, jardins et parcs.
La reine mesure 15-17 mm, l’ouvrière 9-14 mm et le mâle 11-13 mm. Pilosité en partie noire avec une bande jaune à l’avant du thorax, une autre sur l’abdomen (parfois très étroites ou manquantes), les trois derniers segments abdominaux avec des poils roux. Tête et thorax du mâle couverts de poils jaune. Langue courte.
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Genre : Bombus.
Nom scientifique : Bombus pratorum (Linné, 1761)
Nom(s) commun(s) : Bourdon des prés; Bourdon précoce.
Le Bourdon des prés (Bombus pratorum) est un Hyménoptère de la famille des Apidés (Apidae). L’espèce est commune partout en Europe Centrale et en France. Elle apparaît dès le mois de mars et jusqu’en juillet seulement.
Habitat en terrain dégagé : orée des bois, prairies, jardins et parcs.
La reine mesure 15-17 mm, l’ouvrière 9-14 mm et le mâle 11-13 mm. Pilosité en partie noire avec une bande jaune à l’avant du thorax, une autre sur l’abdomen (parfois très étroites ou manquantes), les trois derniers segments abdominaux avec des poils roux. Tête et thorax du mâle couverts de poils jaune. Langue courte.
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Megachilidae.
Tribu : Anthidini.
Genre : Anthidium.
Nom scientifique : Anthidium Fabricius, 1804.
Nom(s) commun(s) : Anthidie ; Abeille solitaire.
Les Abeilles du genre Anthidium sont des Hyménoptères de la famille des Mégachilidés (Megachilidae) (anciennement Apidés). Les représentants de ce genre ont généralement une forme trapue et sont peu velus ; des taches jaunes, blanches ou rousses sur l’abdomen leur donnent un aspect de guêpes. Suivant leur mode de vie, on distingue deux groupes : les Anthidies cotonnières qui bâtissent leurs cellules avec des poils de végétaux, et celles qui, pour la construction, utilisent de la résine. Nids dans le sol, fissures de murs ou nids abandonnés d’autres Abeilles ; à la surface des troncs d’arbres, tiges de plantes, pierres ou rochers pour certaines espèces (Anthidiellum).
Suivant les espèces, la période de vol va de mai à septembre.
On rencontre les Anthidies dans les biotopes chauds et secs, à végétation basse, mais aussi gravières et friches ensoleillées, parfois jardins. On compte 14 espèces en France.
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Megachilidae.
Tribu : Anthidini.
Genre : Anthidium.
Nom scientifique : Anthidium Fabricius, 1805.
Nom commun : Anthidie ; Abeille solitaire.
Les Abeilles du genre Anthidium sont des Hyménoptères de la famille des Mégachilidés (Megachilidae) (anciennement Apidés). Les représentants de ce genre ont généralement une forme trapue et sont peu velus ; des taches jaunes, blanches ou rousses sur l’abdomen leur donnent un aspect de guêpes. Suivant leur mode de vie, on distingue deux groupes : les Anthidies cotonnières qui bâtissent leurs cellules avec des poils de végétaux, et celles qui, pour la construction, utilisent de la résine. Nids dans le sol, fissures de murs ou nids abandonnés d’autres Abeilles ; à la surface des troncs d’arbres, tiges de plantes, pierres ou rochers pour certaines espèces (Anthidiellum).
Suivant les espèces, la période de vol va de mai à septembre.
On rencontre les Anthidies dans les biotopes chauds et secs, à végétation basse, mais aussi gravières et friches ensoleillées, parfois jardins. On compte 14 espèces en France.
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Classe : Insecta.
Super-ordre : Endopterygota.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Megachilidae.
Tribu : Osmiini.
Genre : Osmia.
Nom scientifique : Osmia cornuta (Latreille, 1805).
Nom commun : Osmie cornue.
L’Osmie cornue (Osmia cornuta), très proche de l’Osmie rousse (Osmia rufa) est un Hyménoptère de la famille des Apidés (Apidae).
La pilosité est noire sur la tête et le thorax, rousse sur l’abdomen. La femelle porte des « cornes » sur l’avant de la tête. Le mâle est reconnaissable aux poils blancs de sa face. Taille de 12 à 15 mm.
C’est une espèce qui a disparu de la plupart des zones d’agriculture intensive, mais qui survit bien dans certaines zones urbaines. On rencontre l’espèce de mars à juin, principalement dans les jardins et les parcs; également dans les chemins escarpés.
La femelle construit ses nids dans les cavités allongées, comme des tiges de Bambou, mais adapte son mode de construction à des cavités plus exotiques comme les trous d’évacuation de la condensation des fenêtres. Elle utilise également de l’argile pour parfaire se construction. Les œufs sont disposés suivant le sexe dans l’ordre d’émergence : les mâles qui émergent quatorze jours avant les femelles se développent dans les cellules les plus proches de la sortie. Au printemps il n’est pas rare d’observer de jeunes mâles attendant les femelles devant les entrées de nids pour s’accoupler.
Il existe plus de 35 espèces d’Osmies en France.
Pour plus d’informations : http://fr.wikipedia.org/wiki/Osmia_cornuta
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Tribu : Apini.
Genre : Apis.
Nom scientifique : Apis mellifera Linné, 1758.
Nom commun : Abeille domestique; Abeille mellifère.
L’Abeille mellifère ou Abeille domestique (Apis mellifera) est sans nul doute l’espèce la plus évoluée de toutes les Abeilles de la famille des Apidés (Apidae). Elle peut former des colonies extrêmement populeuses de plusieurs milliers d’individus comprenant une reine féconde, de nombreuses ouvrières stériles et quelques mâles dont le seul but est de féconder la future jeune reine lors du vol nuptial.
Cette espèce possède un véritable langage permettant aux individus de communiquer entre eux, notamment pour indiquer les distances des sources de nourriture par rapport à la ruche et suivant la position du soleil dans le ciel.
Depuis l’Antiquité, l’homme a su utiliser ses qualités de productrice de miel, mais également de cire et de propolis. Il n’est pas étonnant que l’Abeille mellifère soit le seul insecte vraiment domestique (avec le Ver à soie).
Son comportement est si remarquable que des chercheurs ont consacré leur vie à l’étudier (ex. Karl von Frisch). Aujourd’hui encore bien des aspects de leur biologie restent à découvrir.
Avec l’utilisation intensive des insecticides, pesticides et produits phytosanitaires, depuis quelques années, ses populations sont en diminutions.
Albert Einstein aura-t-il raison ?
Pour plus d’infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Apis_mellifera
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Tribu : Apini.
Genre : Apis.
Nom scientifique : Apis mellifera Linné, 1758.
Nom commun : Abeille domestique ; Abeille mellifère.
L’Abeille mellifère ou Abeille domestique (Apis mellifera) est sans nul doute l’espèce la plus évoluée de toutes les Abeilles de la famille des Apidés (Apidae). Elle peut former des colonies extrêmement populeuses de plusieurs milliers d’individus comprenant une reine féconde, de nombreuses ouvrières stériles et quelques mâles dont le seul but est de féconder la future jeune reine lors du vol nuptial.
Cette espèce possède un véritable langage permettant aux individus de communiquer entre eux, notamment pour indiquer les distances des sources de nourriture par rapport à la ruche et suivant la position du soleil dans le ciel.
Depuis l’Antiquité, l’homme a su utiliser ses qualités de productrice de miel, mais également de cire et de propolis. Il n’est pas étonnant que l’Abeille mellifère soit le seul insecte vraiment domestique (avec le Ver à soie).
Son comportement est si remarquable que des chercheurs ont consacré leur vie à l’étudier (ex. Karl von Frisch). Aujourd’hui encore bien des aspects de leur biologie restent à découvrir.
Avec l’utilisation intensive des insecticides, pesticides et produits phytosanitaires, depuis quelques années, ses populations sont en diminutions.
Albert Einstein aura-t-il raison ?
Pour plus d’infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Apis_mellifera
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Vespoidea.
Famille : Formicidae.
Sous-famille : Formicinae.
Tribu : Formicini.
Genre : Formica.
Nom scientifique : Formica rufa Linné, 1758.
Nom commun : Fourmis rousse.
La Fourmis rousse (Formica rufa) est un Hyménoptère de la famille des Formicidés (Formicidae).
La reine et les mâles mesurent entre 9 et 11 mm. Les ouvrières de 4 à 9 mm. L’essaimage a lieu de juin à septembre suivant les latitudes et la météo. Cette espèce (et l’espèce voisine Formica polyctena) se rencontre dans les forêts claires, surtout de conifères et à l’orée des bois. La fourmilière se remarque par un dôme imposant pouvant atteindre 1 m de haut. Le monticule est constitué en surface d’aiguilles de Pin et à l’intérieur de terre dans laquelle sont aménagées de nombreuses chambres. Le nid se poursuit dans le sol par un édifice de même taille. La partie aérienne du nid comporte de nombreuses entrées qui peuvent être obturées en cas de nécessité. Suivant les variations climatiques, les ouvrières déplacent le couvain plus ou moins près de la surface du dôme. En hiver toute la colonie se réfugie dans la partie souterraine. Les ouvrières capturent principalement des insectes, parfois de grande taille comme des Criquets. Cette espèce se montre utile dans la régulation de ravageurs. Ne possédant pas de dard, pour se défendre les ouvrières replient leur abdomen entre les pattes et projettent leur venin composé principalement d’acide formique. La colonie ne compte qu’une seule reine contrairement à l’autre Fourmis rousse (Formica polyctena).
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Vespoidea.
Famille : Formicidae.
Sous-famille : Formicinae.
Tribu : Formicini.
Genre : Formica.
Nom scientifique : Formica rufa Linné, 1758.
Nom commun : Fourmis rousse.
La Fourmis rousse (Formica rufa) est un Hyménoptère de la famille des Formicidés (Formicidae).
La reine et les mâles mesurent entre 9 et 11 mm. Les ouvrières de 4 à 9 mm. L’essaimage a lieu de juin à septembre suivant les latitudes et la météo. Cette espèce (et l’espèce voisine Formica polyctena) se rencontre dans les forêts claires, surtout de conifères et à l’orée des bois. La fourmilière se remarque par un dôme imposant pouvant atteindre 1 m de haut. Le monticule est constitué en surface d’aiguilles de Pin et à l’intérieur de terre dans laquelle sont aménagées de nombreuses chambres. Le nid se poursuit dans le sol par un édifice de même taille. La partie aérienne du nid comporte de nombreuses entrées qui peuvent être obturées en cas de nécessité. Suivant les variations climatiques, les ouvrières déplacent le couvain plus ou moins près de la surface du dôme. En hiver toute la colonie se réfugie dans la partie souterraine. Les ouvrières capturent principalement des insectes, parfois de grande taille comme des Criquets. Cette espèce se montre utile dans la régulation de ravageurs. Ne possédant pas de dard, pour se défendre les ouvrières replient leur abdomen entre les pattes et projettent leur venin composé principalement d’acide formique. La colonie ne compte qu’une seule reine contrairement à l’autre Fourmis rousse (Formica polyctena).
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Vespoidea.
Famille : Formicidae.
Sous-famille : Formicinae.
Tribu : Formicini.
Genre : Formica.
Nom scientifique : Formica rufa Linné, 1758.
Nom commun : Fourmis rousse.
La Fourmis rousse (Formica rufa) est un Hyménoptère de la famille des Formicidés (Formicidae).
La reine et les mâles mesurent entre 9 et 11 mm. Les ouvrières de 4 à 9 mm. L’essaimage a lieu de juin à septembre suivant les latitudes et la météo. Cette espèce (et l’espèce voisine Formica polyctena) se rencontre dans les forêts claires, surtout de conifères et à l’orée des bois. La fourmilière se remarque par un dôme imposant pouvant atteindre 1 m de haut. Le monticule est constitué en surface d’aiguilles de Pin et à l’intérieur de terre dans laquelle sont aménagées de nombreuses chambres. Le nid se poursuit dans le sol par un édifice de même taille. La partie aérienne du nid comporte de nombreuses entrées qui peuvent être obturées en cas de nécessité. Suivant les variations climatiques, les ouvrières déplacent le couvain plus ou moins près de la surface du dôme. En hiver toute la colonie se réfugie dans la partie souterraine. Les ouvrières capturent principalement des insectes, parfois de grande taille comme des Criquets. Cette espèce se montre utile dans la régulation de ravageurs. Ne possédant pas de dard, pour se défendre les ouvrières replient leur abdomen entre les pattes et projettent leur venin composé principalement d’acide formique. La colonie ne compte qu’une seule reine contrairement à l’autre Fourmis rousse (Formica polyctena).