Marpissa muscosa femelle capturant un Diptère Asilide -3-

Marpissa muscosa femelle capturant un Diptère Asilide

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Salticidae.
Genre : Marpissa.

Nom scientifique : Marpissa muscosa (Clerck, 1757).
Nom commun : La grande Saltique.

La grande Saltique (Marpissa muscosa) est une Araignée de la famille des Salticidés (Salticidae). Cette famille comprend de nombreuses espèces, toutes de petite taille. Cette espèce mesure 6,5-10mm pour la femelle et 6,5 mm pour le mâle.
Céphalothorax avec 8 yeux de taille inégale occupant sur 3 rangés toute l’étendue de la partie céphalique.
Les salticides se tiennent dans les endroits ensoleillés et sautent sur les proies passant à proximité. Elles ne tissent pas de toile de capture mais construisent de petite toile de soie sous les écorces, les pierres ou les feuilles roulées. On les rencontre fréquemment sur les arbres, dans les herbes, sur les murs et les rochers où elles se déplacent par petits sauts successifs.
Marpissa muscosa se rencontre dans toute la France et une grande partie de l’Europe, excepté la région médiditerranéenne.

Pour plus d’informations : http://fr.wikipedia.org/wiki/Salticidae et « Les Araignées » de Michel Hubert.

 

Misumena vatia, la Misumène variable -1R2-

Misumena vatia, la Misumène variable

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Thomisidae.
Genre : Misumena.

Nom scientifique : Misumena vatia (Clerck,1757).
Nom(s) commun(s) : Misumène variable, Misumène cagneuse, Araignée citron, Araignée crabe.

La Thomise variable (Misumena vatia) est une araignée de la famille des Thomisidés (Thomisidae), également appelée araignée-crabe. Elle se rencontre dans la zone holarctique : Europe, Asie, Amérique du Nord, Afrique du Nord. L’espèce a été décrite par le naturaliste suédois Carl Alexander Clerck en 1757, sous le nom initial de Araneus varius. Elle est décrite sous de nombreux synonymes (plus d’une trentaine, voir liste ci-dessous).
L’abdomen va en s’élargissant vers l’arrière, et reste plus ou moins arrondi postérieurement.
Cette araignée mesure pattes non comprises de 7 à 11 mm pour la femelle et de 3 à 5 mm pour le mâle. Chez la femelle le céphalothorax est blanc ou jaune avec une large bande brun-jaune de chaque côté et l’abdomen blanc, jaune ou vert très pâle avec de façon inconstante dans la moitié antérieure deux bandes longitudinales rouges. Chez le mâle le céphalothorax est brun-rouge ou noir avec une large bande jaunâtre dans la partie céphalique et l’abdomen blanc mât, orné de deux lignes parallèles bordées de noir. Les deux premières paires de pattes sont plus longues, ce qui fait qu’elle se déplace sur le côté comme les crabes.
L’homochromie adaptative est connue chez les araignées dans deux genres : les Misumena et lesThomisus. La couleur de la femelle peut varier entre le jaune et le blanc, voire vert pâle, suivant la fleur sur laquelle elle chasse. Le changement de couleur est rendu possible par la sécrétion d’un pigment liquide jaune composé de kynurenine et de 3-hydroxykynurenine dans les couches de cellules extérieures du corps. Lorsque l’araignée est sur un fond blanc, ce pigment est transporté dans les couches profondes laissant apparaître les glandes de guanine blanche. Si l’araignée séjourne longuement sur une plante blanche, le pigment jaune est souvent excrété. Pour repasser au jaune, il faudra donc que l’araignée prenne le temps de sécréter à nouveau ce pigment (source Wikipédia).
Les mâles beaucoup plus petits parcourent les fleurs à la recherche de femelles et sont souvent vus avec une ou plusieurs pattes en moins, particularité lié probablement aux attaques de prédateur ou d’autre mâle en compétition. Quand un mâle trouve une femelle, il grimpe sur son céphalothorax à la recherche de son opisthosome où il insère son pédipalpe pour l’inséminer.
Les juvéniles atteignent une taille de 5 mm à la fin de l’automne et hivernent sur le sol. Ils muent une dernière fois au mois de mai de l’année suivante.
Misumena vatia se tient tapie sur les fleurs pour se précipiter sur les proies. Elle est fréquemment associée au Solidago qui lui sert de support à la chasse à l’affût, et qui a l’avantage d’attirer beaucoup d’insectes. L’espèce est visible de mai à juillet.

Araneus diadematus, l’Epeire diadème

le 13 mai 2019, dans Araignées, Faune, Invertébrés, par Alain Larivière
Araneus diadematus, l'Epeire diadème -3-

Araneus diadematus, l’Epeire diadème

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Araneidae.
Genre : Araneus.

Nom scientifique : Araneus diadematus Clerck, 1757.
Nom(s) communs(s) : Epeire diadème ; Epeire des jardins ; Araignée porte-croix.

L’Epeire diadème (Araneus diadematus) est une araignée de la famille des Aranéidés (Araneidae) (= Argiopidae). Le genre Araneus, l’un des plus important de l’ordre des Aranéides, comprend un millier d’espèces répertoriées dont plus de quarante pour la faune de France.
La toile est de type orbiculaire, de dimensions parfois importantes par rapport à sa propre taille, puisqu’elle peut atteindre, exceptionnellement, un mètre, avec une retraite (en cas de danger) qui se compose de quelques feuilles rapprochées maintenues par de la soie. La toile est refaite tous les jours : l’épeire ne répare pas sa toile et la recommence tous les matins (cf. Jean-Henri Fabre).
Cette araignée est facilement reconnaissable au dessin en forme de croix, de couleur claire, que l’on trouve sur son abdomen, qui lui est de couleur brune. La partie la plus large de l’abdomen se trouve dans le tiers supérieur.
Les deux sexes ont un aspect assez différent, principalement au niveau de la taille (dimorphisme sexuel). Ainsi, les individus mâles font moins d’un centimètre alors que les femelles peuvent atteindre un centimètre.
Du fait de sa taille réduite, le mâle doit faire attention lorsqu’il approche la femelle, car elle risque de l’attaquer et de le dévorer comme n’importe quelle autre proie. La femelle est réceptive à l’accouplement 3 ou 4 jours dans sa vie. Jusqu’à 60 mâles différents peuvent se succéder, jour après jour, sur une même toile. La reproduction a lieu l’hiver.
Une fois fécondée, la femelle dépose ses œufs dans un cocon protecteur jaune avant de se laisser tomber pour mourir d’épuisement.

Araneus diadematus, l’Epeire diadème mâle

le 8 mai 2019, dans Araignées, Faune, Invertébrés, par Alain Larivière
Araneus diadematus, l'Epeire diadème -1-

Araneus diadematus, l’Epeire diadème mâle

Araneus diadematus, l'Epeire diadème -2-

Araneus diadematus, l’Epeire diadème mâle

 

Araneus diadematus Clerck, 1757

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Araneidae.
Genre : Araneus.

Nom scientifique : Araneus diadematus Clerck, 1757.
Nom(s) communs(s) : Epeire diadème ; Epeire des jardins ; Araignée porte-croix.

L’Epeire diadème (Araneus diadematus) est une araignée de la famille des Aranéidés (Araneidae) (= Argiopidae). Le genre Araneus, l’un des plus important de l’ordre des Aranéides, comprend un millier d’espèces répertoriées dont plus de quarante pour la faune de France.
La toile est de type orbiculaire, de dimensions parfois importantes par rapport à sa propre taille, puisqu’elle peut atteindre, exceptionnellement, un mètre, avec une retraite (en cas de danger) qui se compose de quelques feuilles rapprochées maintenues par de la soie. La toile est refaite tous les jours : l’épeire ne répare pas sa toile et la recommence tous les matins (cf. Jean-Henri Fabre).
Cette araignée est facilement reconnaissable au dessin en forme de croix, de couleur claire, que l’on trouve sur son abdomen, qui lui est de couleur brune. La partie la plus large de l’abdomen se trouve dans le tiers supérieur.
Les deux sexes ont un aspect assez différent, principalement au niveau de la taille (dimorphisme sexuel). Ainsi, les individus mâles font moins d’un centimètre alors que les femelles peuvent atteindre un centimètre.
Du fait de sa taille réduite, le mâle doit faire attention lorsqu’il approche la femelle, car elle risque de l’attaquer et de le dévorer comme n’importe quelle autre proie. La femelle est réceptive à l’accouplement 3 ou 4 jours dans sa vie. Jusqu’à 60 mâles différents peuvent se succéder, jour après jour, sur une même toile. La reproduction a lieu l’hiver.
Une fois fécondée, la femelle dépose ses œufs dans un cocon protecteur jaune avant de se laisser tomber pour mourir d’épuisement.

Lycosa radiata, la Lycose radiée

le 22 mars 2019, dans Araignées, Faune, Invertébrés, par Alain Larivière
Lycosa radiata, le Lycose radiée -4-

Lycosa radiata, la Lycose radiée

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Lycosidae.
Genre : Lycosa ; Hogna.

Nom(s) scientifique(s) : Lycosa radiata ; Hogna radiata (Latreille, 1817).
Nom(s) commun(s) : La Lycose radiée ; Tarentule radiée ; Fausse tarentule ; Hogna rayée.

La Lycose radiée (Lycosa radiata ou Hogna radiata) est une araignée aranéomorphe de la famille des Lycosidés (Lycosidae).
La plupart des espèces de cette famille sont errantes et ne construisent pas de toile. Certaines creusent des terriers, d’autres utilisent des anfractuosités naturelles, d’autres errent simplement sur le sol et n’utilisent aucune retraite.
Après la fécondation, durant laquelle le mâle applique un de ses pédipalpes contre l’épigyne de la femelle, elle pond ses œufs dans un cocon de soie. La progéniture mettra 2 à 3 semaines à éclore. Le cocon est transporté par la femelle, fixé à ses filières. Les jeunes, à la naissance, grimpent sur le dos de leur mère et sont transportés par elle, pendant une longue période, jusqu’à ce qu’ils soient indépendants.
Lorsqu’elle doit muer ou pondre, elle se fabrique une loge avec de la terre agglomérée par de la soie, ce qui donne un abri en terre, fermé.

Lycosa radiata, la Lycose radiée

le 13 mars 2019, dans Araignées, Faune, Invertébrés, par Alain Larivière
Lycosa radiata, le Lycose radiée -3-

Lycosa radiata, le Lycose radiée

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Lycosidae.
Genre : Lycosa ; Hogna.

Nom(s) scientifique(s) : Lycosa radiata ; Hogna radiata (Latreille, 1817).
Nom(s) commun(s) : La Lycose radiée ; Tarentule radiée ; Fausse tarentule ; Hogna rayée.

La Lycose radiée (Lycosa radiata ou Hogna radiata) est une araignée aranéomorphe de la famille des Lycosidés (Lycosidae).
La plupart des espèces de cette famille sont errantes et ne construisent pas de toile. Certaines creusent des terriers, d’autres utilisent des anfractuosités naturelles, d’autres errent simplement sur le sol et n’utilisent aucune retraite.
Après la fécondation, durant laquelle le mâle applique un de ses pédipalpes contre l’épigyne de la femelle, elle pond ses œufs dans un cocon de soie. La progéniture mettra 2 à 3 semaines à éclore. Le cocon est transporté par la femelle, fixé à ses filières. Les jeunes, à la naissance, grimpent sur le dos de leur mère et sont transportés par elle, pendant une longue période, jusqu’à ce qu’ils soient indépendants.
Lorsqu’elle doit muer ou pondre, elle se fabrique une loge avec de la terre agglomérée par de la soie, ce qui donne un abri en terre, fermé.

Lycosa radiata, la Lycose radiée

le 10 mars 2019, dans Araignées, Faune, Invertébrés, par Alain Larivière
Lycosa radiata, le Lycose radiée -2-

Lycosa radiata, le Lycose radiée

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Lycosidae.
Genre : Lycosa ; Hogna.

Nom(s) scientifique(s) : Lycosa radiata ; Hogna radiata (Latreille, 1817).
Nom(s) commun(s) : La Lycose radiée ; Tarentule radiée ; Fausse tarentule ; Hogna rayée.

La Lycose radiée (Lycosa radiata ou Hogna radiata) est une araignée aranéomorphe de la famille des Lycosidés (Lycosidae).
La plupart des espèces de cette famille sont errantes et ne construisent pas de toile. Certaines creusent des terriers, d’autres utilisent des anfractuosités naturelles, d’autres errent simplement sur le sol et n’utilisent aucune retraite.
Après la fécondation, durant laquelle le mâle applique un de ses pédipalpes contre l’épigyne de la femelle, elle pond ses œufs dans un cocon de soie. La progéniture mettra 2 à 3 semaines à éclore. Le cocon est transporté par la femelle, fixé à ses filières. Les jeunes, à la naissance, grimpent sur le dos de leur mère et sont transportés par elle, pendant une longue période, jusqu’à ce qu’ils soient indépendants.
Lorsqu’elle doit muer ou pondre, elle se fabrique une loge avec de la terre agglomérée par de la soie, ce qui donne un abri en terre, fermé.

Lycosa radiata, la Lycose radiée

le 6 mars 2019, dans Araignées, Faune, Invertébrés, par Alain Larivière
Lycosa radiata, le Lycose radiée -1-

Lycosa radiata, le Lycose radiée

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Chelicerata.
Classe : Arachnida.
Ordre : Araneae.
Sous-ordre : Araneomorphae.
Famille : Lycosidae.
Genre : Lycosa ; Hogna.

Nom(s) scientifique(s) : Lycosa radiata ; Hogna radiata (Latreille, 1817).
Nom(s) commun(s) : La Lycose radiée ; Tarentule radiée ; Fausse tarentule ; Hogna rayée.

La Lycose radiée (Lycosa radiata ou Hogna radiata) est une araignée aranéomorphe de la famille des Lycosidés (Lycosidae).
La plupart des espèces de cette famille sont errantes et ne construisent pas de toile. Certaines creusent des terriers, d’autres utilisent des anfractuosités naturelles, d’autres errent simplement sur le sol et n’utilisent aucune retraite.
Après la fécondation, durant laquelle le mâle applique un de ses pédipalpes contre l’épigyne de la femelle, elle pond ses œufs dans un cocon de soie. La progéniture mettra 2 à 3 semaines à éclore. Le cocon est transporté par la femelle, fixé à ses filières. Les jeunes, à la naissance, grimpent sur le dos de leur mère et sont transportés par elle, pendant une longue période, jusqu’à ce qu’ils soient indépendants.
Lorsqu’elle doit muer ou pondre, elle se fabrique une loge avec de la terre agglomérée par de la soie, ce qui donne un abri en terre, fermé.
Elle se nourrit de grillons, criquet, mouches, et autres petits arthropodes.
Elle ne vit qu’un an.
Son corps mesure jusqu’à 25 mm chez les femelles adultes ; les mâles sont plus petits.
Cette espèce se rencontre de l’Europe du Sud à l’Asie centrale et dans le nord de l’Afrique. En France, elle se répartit sur le Bassin méditerranéen, où elle est présente surtout dans le Languedoc-Roussillon. Elle peut remonter sur la façade atlantique, parfois jusqu’au Bassin parisien.

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