Le palais des délices
Si vos papilles sont en attente de sensations fortes et variées et vos yeux en recherche de couleurs, je vous conseille de franchir la porte de « L’Epicurieux », boutique située 1 place du Marché à Saint-Yrieix-la-Perche, en Haute-Vienne.
Vous y découvrirez un commerce à l’ancienne, loin des standards asseptisés qu’offre les magasins modernes. Une fois franchie la porte, tous vos sens sont stimulés : couleurs, odeurs et saveurs viennent à votre rencontre. C’est une farandole de fruits confis, berlingots, nougats, chocolats, marmelades, confitures et de bien d’autres délices sucrés, auxquels se joignent tisanes, thés et plantes séchées variées dans leurs bocaux à l’ancienne, ainsi que les grains de riz, sésame, épeautre, sarrazin, et la liste est longue, contenus dans des sacs en toile. Nous ne laisserons pas de côté les fromages affinés à point et l’épicerie fine. Des légumes et fruits frais viennent compléter cet inventaire à la Prévert.
Partez à la découverte des saveurs oubliées et n’hésitez pas à questionner la maîtresse des lieux qui saura guider vos achats…Vous ne serez pas déçu.
« L’Epicurieux », synthèse d’Epicurien et de curieux, voilà bien les deux qualités qu’il vous faut pour découvrir cet espace de plaisirs gourmands : les délices du palais.
Reportage sur les sépultures abandonnées et le thème de l’oubli.
Le travail photographique montre des tombes abandonnées, délabrées, où même la notion de concession perpétuelle n’a plus cours pour les plus anciennes. A ces sépultures on ne peut dissocier la notion d’oubli, d’où le titre de la série.
Après la disparition physique des défunts vient celle de leur identité qui, sur de nombreuses tombes, ou ce qu’il en reste, n’apparait plus. Alors il n’y a plus trace du passage des personnes sur terre : c’est l’oubli à perpétuité.
L’éternité des âmes errantes.
« La mort, si nous voulons nommer ainsi cette irréalité, est la chose la plus redoutable. »
Hegel, La Phénoménologie de l’Esprit, 1807.
Qu’est-ce donc qu’oublier si ce n’est pas mourir ?
Musset (Alfred de)
Le palais des délices
Si vos papilles sont en attente de sensations fortes et variées et vos yeux en recherche de couleurs, je vous conseille de franchir la porte de « L’Epicurieux », boutique située 1 place du Marché à Saint-Yrieix-la-Perche, en Haute-Vienne.
Vous y découvrirez un commerce à l’ancienne, loin des standards asseptisés qu’offre les magasins modernes. Une fois franchie la porte, tous vos sens sont stimulés : couleurs, odeurs et saveurs viennent à votre rencontre. C’est une farandole de fruits confis, berlingots, nougats, chocolats, marmelades, confitures et de bien d’autres délices sucrés, auxquels se joignent tisanes, thés et plantes séchées variées dans leurs bocaux à l’ancienne, ainsi que les grains de riz, sésame, épeautre, sarrazin, et la liste est longue, contenus dans des sacs en toile. Nous ne laisserons pas de côté les fromages affinés à point et l’épicerie fine. Des légumes et fruits frais viennent compléter cet inventaire à la Prévert.
Partez à la découverte des saveurs oubliées et n’hésitez pas à questionner la maîtresse des lieux qui saura guider vos achats…Vous ne serez pas déçu.
« L’Epicurieux », synthèse d’Epicurien et de curieux, voilà bien les deux qualités qu’il vous faut pour découvrir cet espace de plaisirs gourmands : les délices du palais.
Dessous de parasol
Sujet simple en soit que ce parasol sous lequel je me tenais à l’abri du soleil, mais pourtant si graphique avec ces baleines noires fragmentant la toile rouge. Le rouge et le noir, deux couleurs qui s’associent bien. Encore faut-il avoir l’appareil photo à portée de main pour réaliser cet ensemble de clichés avec presque rien comme objet.
Reportage sur les sépultures abandonnées et le thème de l’oubli.
Le travail photographique montre des tombes abandonnées, délabrées, où même la notion de concession perpétuelle n’a plus cours pour les plus anciennes. A ces sépultures on ne peut dissocier la notion d’oubli, d’où le titre de la série.
Après la disparition physique des défunts vient celle de leur identité qui, sur de nombreuses tombes, ou ce qu’il en reste, n’apparait plus. Alors il n’y a plus trace du passage des personnes sur terre : c’est l’oubli à perpétuité.
L’éternité des âmes errantes.
« La mort, si nous voulons nommer ainsi cette irréalité, est la chose la plus redoutable. »
Hegel, La Phénoménologie de l’Esprit, 1807.
Qu’est-ce donc qu’oublier si ce n’est pas mourir ?
Musset (Alfred de)
Dessous de parasol
Sujet simple en soit que ce parasol sous lequel je me tenais à l’abri du soleil, mais pourtant si graphique avec ces baleines noires fragmentant la toile rouge. Le rouge et le noir, deux couleurs qui s’associent bien. Encore faut-il avoir l’appareil photo à portée de main pour réaliser cet ensemble de clichés avec presque rien comme objet.
Rhyzobius forestieri
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-Classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Super-ordre : Endopterygota.
Ordre : Coleoptera.
Famille : Coccinellidae.
Sous-famille : Coccidulinae.
Genre : Rhyzobius.
Nom scientifique : Rhyzobius forestieri (Mulsant, 1853).
Nom commun : Pas connu.
Rhyzobius forestieri est un Coléoptère de la famille des Coccinellidés (Coccinellidae).
Cette Coccinelle mesure environ 4 mm de long. Elle se reconnaît à ses longs poils soyeux et gris (sous loupe binoculaire) sur fond noir et à son abdomen rouge.
Cette espèce originaire d’Australie a fait l’objet de recherches par l’INRA d’Antibes qui a effectué des lâchés inoculatifs en septembre 1986 dans un verger de clémentiniers lourdement infesté par la Cochenille noire de l’olivier (Saissetia oleae), situé au Conservatoire botanique de l’île de Porquerolles.
C’est de là qu’elle a commencé à envahir le territoire français. L’espèce est présente maintenant dans de nombreux départements, dont le Loiret où ont été observé les larves photographiées.
Reportage sur les sépultures abandonnées et le thème de l’oubli.
Le travail photographique montre des tombes abandonnées, délabrées, où même la notion de concession perpétuelle n’a plus cours pour les plus anciennes. A ces sépultures on ne peut dissocier la notion d’oubli, d’où le titre de la série.
Après la disparition physique des défunts vient celle de leur identité qui, sur de nombreuses tombes, ou ce qu’il en reste, n’apparait plus. Alors il n’y a plus trace du passage des personnes sur terre : c’est l’oubli à perpétuité.
L’éternité des âmes errantes.
« La mort, si nous voulons nommer ainsi cette irréalité, est la chose la plus redoutable. »
Hegel, La Phénoménologie de l’Esprit, 1807.
Qu’est-ce donc qu’oublier si ce n’est pas mourir ?
Musset (Alfred de)
Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-Classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Super-ordre : Endopterygota.
Ordre : Coleoptera.
Famille : Coccinellidae.
Sous-famille : Coccidulinae.
Genre : Rhyzobius.
Nom scientifique : Rhyzobius forestieri (Mulsant, 1853).
Nom commun : Pas connu.
Rhyzobius forestieri est un Coléoptère de la famille des Coccinellidés (Coccinellidae).
Cette Coccinelle mesure environ 4 mm de long. Elle se reconnaît à ses longs poils soyeux et gris (sous loupe binoculaire) sur fond noir et à son abdomen rouge.
Cette espèce originaire d’Australie a fait l’objet de recherches par l’INRA d’Antibes qui a effectué des lâchés inoculatifs en septembre 1986 dans un verger de clémentiniers lourdement infesté par la Cochenille noire de l’olivier (Saissetia oleae), situé au Conservatoire botanique de l’île de Porquerolles.
C’est de là qu’elle a commencé à envahir le territoire français. L’espèce est présente maintenant dans de nombreux départements, dont le Loiret où ont été observé les larves photographiées.