Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire

le 31 octobre 2019, dans Architecture, Reportages, par Alain Larivière
Abbaye de Fleury – Saint-Benoît-sur-Loire -3-

Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire

Abbaye de Fleury – Saint-Benoît-sur-Loire -3N&B-

Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire

 

Abbaye de Fleury – Saint-Benoît-sur-Loire

La commune

Saint-Benoît-sur-Loire est une commune française située dans le département du Loiret en Région Centre, France.
La commune est célèbre pour son abbaye romane bénédictine et est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le village est situé sur la rive nord de la Loire, à 8,5 km au nord-ouest de Sully-sur-Loire, à 9,5 km au sud-est de Châteauneuf-sur-Loire, à 30 km au nord-ouest de Gien, à 35 km à l’est d’Orléans et 129 km au sud de Paris.
La Bonnée, affluent de la Loire, traverse le territoire de la commune.

Max Jacob

Le poète Max Jacob y vécut de 1921 à 1928. Il y revint en 1936 et y est arrêté en février 1944 avant d’être déporté au camp de Drancy où il meurt quelques jours plus tard. De nombreux artistes, amis de ce dernier, passèrent dans le village. On peut citer Pablo Picasso, Jean Cocteau, Paul Éluard, René Iché, Pierre Mac Orlan et Charles Trenet. Il est enterré dans le cimetière du village.

La communauté monastique

Fondée vers l’an 630 dans le diocèse d’Orléans, sur les bords de la Loire, la communauté monastique qui avait été dispersée à la révolution a été refondée en 1944 par un groupe de moines bénédictins venus du monastère de la Pierre qui Vire dans le Morvan. 32 moines y mènent aujourd’hui sous la règle de Saint-Benoît une vie de recherche de Dieu dans la prière et le travail.

La Basilique

Au XIème siècle, dans la période de sa plus grande prospérité, l’abbaye n’avait pas de lieu digne des reliques du Pères des moines d’Occident, Saint-Benoît, patron du lieu.
Aussi l’abbé Guillaume (vers 1067) et ses successeurs, entreprennent la construction de la crypte, puis du sanctuaire. En 1108, cette première partie est achevée. Le chantier ne reprends que vers 1160 et lentement la construction de la nef progresse jusqu’à la Tour-porche.
La construction s’achève probablement en 1218, par la journée solennelle de la dédicace, le 26 octobre.

La nef, le chœur et les transepts

Passée la Tour-Porche, on pénètre dans cet immense vaisseau de pierre et subitement l’émotion saisit le visiteur. La lumière pénètre dans la basilique par les grandes fenêtres de la nef et de l’abside, rendant sensible l’intense impression de recueillement qui se dégage de l’édifice.
L’abside a été édifiée jusqu’aux transepts, entre 1060 et 1108, puis continuée à partir de 1160 par une nef prévue dans le même style. Mais quand on en arriva à la couverture, la technique de l’ogive se répendait et c’est celle que l’on adopta alors au prix de quelques ajustements.
Dimensions intérieures de l’édifice : longueur 73 m, largeur 17 m, hauteur : coupole 24 m, sanctuaire 18 m, nef 20 m.

La crypte

Nous sommes au cœur de l’édifice, devant le pilier creux où est déposée la châsse contenant les reliques du patron du lieu, Saint-Benoît, sans qui rien n’existerait ici. De ce pilier central sort la double voûte du double déambulatoire, portant le sanctuaire supérieur. Toute l’église se développe à partir de cette crypte obscure. Les reliques y furent déposées en 1108, lors de la consécration de l’autel majeur.

Les reliques de Saint-Benoît

La tradition écrite rapporte que les reliques de Saint-Benoît et de sa sœur Sainte Scholastique ont été rapportées en France à la fin du VIIème siècle par un groupe de moines de Fleury, accompagnés par des chanoines de la Cathédrale du Mans. Depuis lors les restes du « Patriarche d’Occident » sont conservés à Saint-Benoît sur Loire.
La question de la translation des reliques de Saint-Benoît et de sa sœur Scholastique a été étudiée avec toute la rigueur scientifique dans les années 60 par une équipe pluridisciplinaire, comprenant des médecins animés par le professeur BEAU qui était alors doyen de la faculté de médecine de Nancy, des historiens, des spécialistes de la critique des textes du moyen âge, des spécialistes d’histoire de la liturgie.

Pour plus d’informations sur l’abbaye de Fleury, la basilique, la vie de Saint-Benoît, la règle monastique bénédictine et la vie actuelle des moines de l’abbaye, allez sur le site : http://www.abbaye-fleury.com/index.html

Filés végétaux : Realistic

le 24 octobre 2019, dans Graphisme, Textures végétales, par Alain Larivière
Filés végétaux : Realistic -18-

Filés végétaux : Realistic

 

Cette image fait partie d’une série réalisée avec des végétaux et le mouvement de l’appareil photo à la prise de vue.
Je sélectionne ensuite les clichés où le mouvement et les couleurs composent une image graphique agréable à l’oeil, telle une peinture moderne.

Mots Tag:
 

Apis mellifera, l’Abeille mellifère

le 23 octobre 2019, dans Faune, Hyménoptères, Insectes, Invertébrés, par Alain Larivière
Apis mellifera, l'Abeille mellifère -8R-

Apis mellifera, l’Abeille mellifère

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Tribu : Apini.
Genre : Apis.

Nom scientifique : Apis mellifera Linné, 1758.
Nom commun : Abeille domestique; Abeille mellifère.

L’Abeille mellifère ou Abeille domestique (Apis mellifera) est sans nul doute l’espèce la plus évoluée de toutes les Abeilles de la famille des Apidés (Apidae). Elle peut former des colonies extrêmement populeuses de plusieurs milliers d’individus comprenant une reine féconde, de nombreuses ouvrières stériles et quelques mâles dont le seul but est de féconder la future jeune reine lors du vol nuptial.
 Cette espèce possède un véritable langage permettant aux individus de communiquer entre eux, notamment pour indiquer les distances des sources de nourriture par rapport à la ruche et suivant la position du soleil dans le ciel.
 Depuis l’Antiquité, l’homme a su utiliser ses qualités de productrice de miel, mais également de cire et de propolis. Il n’est pas étonnant que l’Abeille mellifère soit le seul insecte vraiment domestique (avec le Ver à soie).
Son comportement est si remarquable que des chercheurs ont consacré leur vie à l’étudier (ex. Karl von Frisch). Aujourd’hui encore bien des aspects de leur biologie restent à découvrir.
 Avec l’utilisation intensive des insecticides, pesticides et produits phytosanitaires, depuis quelques années, ses populations sont en diminutions.
Albert Einstein aura-t-il raison ?
Pour plus d’infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Apis_mellifera

Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire

le 22 octobre 2019, dans Architecture, Reportages, par Alain Larivière
Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire -0M-

Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire

Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire -0N&B-

Crypte de la basilique de Saint-Benoît-sur-Loire

 

Abbaye de Fleury – Saint-Benoît-sur-Loire

La commune

Saint-Benoît-sur-Loire est une commune française située dans le département du Loiret en Région Centre, France.
La commune est célèbre pour son abbaye romane bénédictine et est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le village est situé sur la rive nord de la Loire, à 8,5 km au nord-ouest de Sully-sur-Loire, à 9,5 km au sud-est de Châteauneuf-sur-Loire, à 30 km au nord-ouest de Gien, à 35 km à l’est d’Orléans et 129 km au sud de Paris.
La Bonnée, affluent de la Loire, traverse le territoire de la commune.

Max Jacob

Le poète Max Jacob y vécut de 1921 à 1928. Il y revint en 1936 et y est arrêté en février 1944 avant d’être déporté au camp de Drancy où il meurt quelques jours plus tard. De nombreux artistes, amis de ce dernier, passèrent dans le village. On peut citer Pablo Picasso, Jean Cocteau, Paul Éluard, René Iché, Pierre Mac Orlan et Charles Trenet. Il est enterré dans le cimetière du village.

La communauté monastique

Fondée vers l’an 630 dans le diocèse d’Orléans, sur les bords de la Loire, la communauté monastique qui avait été dispersée à la révolution a été refondée en 1944 par un groupe de moines bénédictins venus du monastère de la Pierre qui Vire dans le Morvan. 32 moines y mènent aujourd’hui sous la règle de Saint-Benoît une vie de recherche de Dieu dans la prière et le travail.

La Basilique

Au XIéme siècle, dans la période de sa plus grande prospérité, l’abbaye n’avait pas de lieu digne des reliques du Pères des moines d’Occident, Saint-Benoît, patron du lieu.
Aussi l’abbé Guillaume (vers 1067) et ses successeurs, entreprennent la construction de la crypte, puis du sanctuaire. En 1108, cette première partie est achevée. Le chantier ne reprends que vers 1160 et lentement la construction de la nef progresse jusqu’à la Tour-porche.
La construction s’achève probablement en 1218, par la journée solennelle de la dédicace, le 26 octobre.

La nef, le chœur et les transepts

Passée la Tour-Porche, on pénètre dans cet immense vaisseau de pierre et subitement l’émotion saisit le visiteur. La lumière pénètre dans la basilique par les grandes fenêtres de la nef et de l’abside, rendant sensible l’intense impression de recueillement qui se dégage de l’édifice.
L’abside a été édifiée jusqu’aux transepts, entre 1060 et 1108, puis continuée à partir de 1160 par une nef prévue dans le même style. Mais quand on en arriva à la couverture, la technique de l’ogive se répendait et c’est celle que l’on adopta alors au prix de quelques ajustements.
Dimensions intérieures de l’édifice : longueur 73 m, largeur 17 m, hauteur : coupole 24 m, sanctuaire 18 m, nef 20 m.

La crypte

Nous sommes au cœur de l’édifice, devant le pilier creux où est déposée la châsse contenant les reliques du patron du lieu, Saint-Benoît, sans qui rien n’existerait ici. De ce pilier central sort la double voûte du double déambulatoire, portant le sanctuaire supérieur. Toute l’église se développe à partir de cette crypte obscure. Les reliques y furent déposées en 1108, lors de la consécration de l’autel majeur.

Les reliques de Saint-Benoît

La tradition écrite rapporte que les reliques de Saint-Benoît et de sa sœur Sainte Scholastique ont été rapportées en France à la fin du VIIème siècle par un groupe de moines de Fleury, accompagnés par des chanoines de la Cathédrale du Mans. Depuis lors les restes du « Patriarche d’Occident » sont conservés à Saint-Benoît sur Loire.
La question de la translation des reliques de Saint-Benoît et de sa sœur Scholastique a été étudiée avec toute la rigueur scientifique dans les années 60 par une équipe pluridisciplinaire, comprenant des médecins animés par le professeur BEAU qui était alors doyen de la faculté de médecine de Nancy, des historiens, des spécialistes de la critique des textes du moyen âge, des spécialistes d’histoire de la liturgie.

Pour plus d’informations sur l’abbaye de Fleury, la basilique, la vie de Saint-Benoît, la règle monastique bénédictine et la vie actuelle des moines de l’abbaye, allez sur le site : http://www.abbaye-fleury.com/index.html

Filés végétaux : Realistic

le 21 octobre 2019, dans Graphisme, Textures végétales, par Alain Larivière
Filés végétaux : Realistic -15M-

Filés végétaux : Realistic

 

Cette image fait partie d’une série réalisée avec des végétaux et le mouvement de l’appareil photo à la prise de vue.
Je sélectionne ensuite les clichés où le mouvement et les couleurs composent une image graphique agréable à l’oeil, telle une peinture moderne.

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Apis mellifera, l’Abeille mellifère

le 20 octobre 2019, dans Faune, Hyménoptères, Insectes, Invertébrés, par Alain Larivière
Apis mellifera, l'Abeille mellifère -7-

Apis mellifera, l’Abeille mellifère

 

Apis mellifera

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Tribu : Apini.
Genre : Apis.

Nom scientifique : Apis mellifera Linné, 1758.
Nom commun : Abeille domestique; Abeille mellifère.

L’Abeille mellifère ou Abeille domestique (Apis mellifera) est sans nul doute l’espèce la plus évoluée de toutes les Abeilles de la famille des Apidés (Apidae). Elle peut former des colonies extrêmement populeuses de plusieurs milliers d’individus comprenant une reine féconde, de nombreuses ouvrières stériles et quelques mâles dont le seul but est de féconder la future jeune reine lors du vol nuptial.
 Cette espèce possède un véritable langage permettant aux individus de communiquer entre eux, notamment pour indiquer les distances des sources de nourriture par rapport à la ruche et suivant la position du soleil dans le ciel.
 Depuis l’Antiquité, l’homme a su utiliser ses qualités de productrice de miel, mais également de cire et de propolis. Il n’est pas étonnant que l’Abeille mellifère soit le seul insecte vraiment domestique (avec le Ver à soie).
Son comportement est si remarquable que des chercheurs ont consacré leur vie à l’étudier (ex. Karl von Frisch). Aujourd’hui encore bien des aspects de leur biologie restent à découvrir.
 Avec l’utilisation intensive des insecticides, pesticides et produits phytosanitaires, depuis quelques années, ses populations sont en diminutions.
Albert Einstein aura-t-il raison ?
Pour plus d’infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Apis_mellifera

Filés végétaux : Realistic

le 19 octobre 2019, dans Graphisme, Textures végétales, par Alain Larivière
Filés végétaux : Realistic -14M-

Filés végétaux : Realistic

 

Cette image fait partie d’une série réalisée avec des végétaux et le mouvement de l’appareil photo à la prise de vue.
Je sélectionne ensuite les clichés où le mouvement et les couleurs composent une image graphique agréable à l’oeil, telle une peinture moderne.

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Choeur, transept et nef de la basilique de St-Benoît-sur-Loire -2

Choeur, transept et nef de la basilique de St-Benoît-sur-Loire

Choeur, transept et nef de la basilique de St-Benoît-sur-Loire -2N&B-
Choeur, transept et nef de la basilique de St-Benoît-sur-Loire

Abbaye de Fleury – Saint-Benoît-sur-Loire

La commune

Saint-Benoît-sur-Loire est une commune française située dans le département du Loiret en Région Centre, France.
La commune est célèbre pour son abbaye romane bénédictine et est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le village est situé sur la rive nord de la Loire, à 8,5 km au nord-ouest de Sully-sur-Loire, à 9,5 km au sud-est de Châteauneuf-sur-Loire, à 30 km au nord-ouest de Gien, à 35 km à l’est d’Orléans et 129 km au sud de Paris.
La Bonnée, affluent de la Loire, traverse le territoire de la commune.

Max Jacob

Le poète Max Jacob y vécut de 1921 à 1928. Il y revint en 1936 et y est arrêté en février 1944 avant d’être déporté au camp de Drancy où il meurt quelques jours plus tard. De nombreux artistes, amis de ce dernier, passèrent dans le village. On peut citer Pablo Picasso, Jean Cocteau, Paul Éluard, René Iché, Pierre Mac Orlan et Charles Trenet. Il est enterré dans le cimetière du village.

La communauté monastique

Fondée vers l’an 630 dans le diocèse d’Orléans, sur les bords de la Loire, la communauté monastique qui avait été dispersée à la révolution a été refondée en 1944 par un groupe de moines bénédictins venus du monastère de la Pierre qui Vire dans le Morvan. 32 moines y mènent aujourd’hui sous la règle de Saint-Benoît une vie de recherche de Dieu dans la prière et le travail.

La Basilique

Au XIéme siècle, dans la période de sa plus grande prospérité, l’abbaye n’avait pas de lieu digne des reliques du Pères des moines d’Occident, Saint-Benoît, patron du lieu.
Aussi l’abbé Guillaume (vers 1067) et ses successeurs, entreprennent la construction de la crypte, puis du sanctuaire. En 1108, cette première partie est achevée. Le chantier ne reprends que vers 1160 et lentement la construction de la nef progresse jusqu’à la Tour-porche.
La construction s’achève probablement en 1218, par la journée solennelle de la dédicace, le 26 octobre.

La nef, le chœur et les transepts

Passée la Tour-Porche, on pénètre dans cet immense vaisseau de pierre et subitement l’émotion saisit le visiteur. La lumière pénètre dans la basilique par les grandes fenêtres de la nef et de l’abside, rendant sensible l’intense impression de recueillement qui se dégage de l’édifice.
L’abside a été édifiée jusqu’aux transepts, entre 1060 et 1108, puis continuée à partir de 1160 par une nef prévue dans le même style. Mais quand on en arriva à la couverture, la technique de l’ogive se répendait et c’est celle que l’on adopta alors au prix de quelques ajustements.
Dimensions intérieures de l’édifice : longueur 73 m, largeur 17 m, hauteur : coupole 24 m, sanctuaire 18 m, nef 20 m.

La crypte

Nous sommes au cœur de l’édifice, devant le pilier creux où est déposée la châsse contenant les reliques du patron du lieu, Saint-Benoît, sans qui rien n’existerait ici. De ce pilier central sort la double voûte du double déambulatoire, portant le sanctuaire supérieur. Toute l’église se développe à partir de cette crypte obscure. Les reliques y furent déposées en 1108, lors de la consécration de l’autel majeur.

Les reliques de Saint-Benoît

La tradition écrite rapporte que les reliques de Saint-Benoît et de sa sœur Sainte Scholastique ont été rapportées en France à la fin du VIIème siècle par un groupe de moines de Fleury, accompagnés par des chanoines de la Cathédrale du Mans. Depuis lors les restes du « Patriarche d’Occident » sont conservés à Saint-Benoît sur Loire.
La question de la translation des reliques de Saint-Benoît et de sa sœur Scholastique a été étudiée avec toute la rigueur scientifique dans les années 60 par une équipe pluridisciplinaire, comprenant des médecins animés par le professeur BEAU qui était alors doyen de la faculté de médecine de Nancy, des historiens, des spécialistes de la critique des textes du moyen âge, des spécialistes d’histoire de la liturgie.

Pour plus d’informations sur l’abbaye de Fleury, la basilique, la vie de Saint-Benoît, la règle monastique bénédictine et la vie actuelle des moines de l’abbaye, allez sur le site : http://www.abbaye-fleury.com/index.html

Apis mellifera, l’Abeille mellifère

le 17 octobre 2019, dans Faune, Hyménoptères, Insectes, Invertébrés, par Alain Larivière
Apis mellifera, l'Abeille mellifère -6R-

Apis mellifera, l’Abeille mellifère

 

Règne : Animalia.
Embranchement : Arthropoda.
Sous-embranchement : Hexapoda.
Classe : Insecta.
Sous-classe : Pterygota.
Infra-classe : Neoptera.
Ordre : Hymenoptera.
Sous-ordre : Apocrita.
Infra-ordre : Aculeata.
Super-famille : Apoidea.
Famille : Apidae.
Tribu : Apini.
Genre : Apis.

Nom scientifique : Apis mellifera Linné, 1758.
Nom commun : Abeille domestique; Abeille mellifère.

L’Abeille mellifère ou Abeille domestique (Apis mellifera) est sans nul doute l’espèce la plus évoluée de toutes les Abeilles de la famille des Apidés (Apidae). Elle peut former des colonies extrêmement populeuses de plusieurs milliers d’individus comprenant une reine féconde, de nombreuses ouvrières stériles et quelques mâles dont le seul but est de féconder la future jeune reine lors du vol nuptial.
 Cette espèce possède un véritable langage permettant aux individus de communiquer entre eux, notamment pour indiquer les distances des sources de nourriture par rapport à la ruche et suivant la position du soleil dans le ciel.
 Depuis l’Antiquité, l’homme a su utiliser ses qualités de productrice de miel, mais également de cire et de propolis. Il n’est pas étonnant que l’Abeille mellifère soit le seul insecte vraiment domestique (avec le Ver à soie).
Son comportement est si remarquable que des chercheurs ont consacré leur vie à l’étudier (ex. Karl von Frisch). Aujourd’hui encore bien des aspects de leur biologie restent à découvrir.
 Avec l’utilisation intensive des insecticides, pesticides et produits phytosanitaires, depuis quelques années, ses populations sont en diminutions.
Albert Einstein aura-t-il raison ?
Pour plus d’infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Apis_mellifera

Filés végétaux : Abstract

le 16 octobre 2019, dans Graphisme, Textures végétales, par Alain Larivière
Filés végétaux : Abstract -12M-

Filés végétaux : Abstract

 

 

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